mercredi 16 février 2011

Quatre-vin-quinze

À ma surprise, mon épicerie offre moult vins, certains remontant à il y a longtemps. J'ai aujourd'hui opté pour un Château Guillon Nardou 1995, un Bordeaux, se détaillant à 1 500 ¥. Critique d'un non-œnologue qui n'y connaît rien, et pour qui l'habit fait le moine.

On parle d'un Grand vin de Bordeaux. Ça doit être bon. Le producteur est un château, ce qui est incontournablement bon. L'étiquette est plutôt classe, rien d'extravagant, ce qui est probablement bon. Mis en en bouteille au château, c'est de toute évidence quelque chose de bon.



Un bout de papier au collet nous confirme qu'il s'agit bel et bien d'un old vintage, ce qui est sans doute très bon.




Non seulement l'élevage des vignes s'est-il déroulé dans le respect de la tradition, et les plus grands soins ont-ils été apportés dans leur sélection, qui est d'ailleurs de qualité, mais cette cuvée est prestigieuse. C'est assurément bon.



J'ai fait appel à mon ami suisse pour ouvrir cette bouteille. Les Suisses sont reconnus pour la qualité de leurs produits. Il ne peut y avoir que du bon là-dedans.




Un vrai bouchon en vrai liège. Ça ne peut pas ne pas être bon. 


Pour ce qui est du bouquet et de la présence en bouche de ce nectar, rien d'atroce, pas trop mal, sans toutefois avoir un goût relevé. Un pas pire bon vin, mais rien de divin.

1 commentaire:

Anonyme a dit...

Bon, j'ai pas bien compris. Dirais-tu de ce vin qu'il est bon, ou alors bon?

Jules