Le rouge, c'est le mien |
Ce que je n'ai pas su prévoir, c'est que dans une ville aussi dense que Tokyo, on ne peut pas stationner n'importe où son vélo. Les interdictions de stationner, collées aux trottoirs, abondent. On doit donc laisser son bolide dans des parcs prévus à cet effet, payants bien sûr. Car si Montréal et d'autres villes veulent encourager une utilisation accrue de la bicyclette, Tokyo n'en a rien à battre. Tokyo a déjà en masse de cyclistes comme ça, merci, et les Tokyoïtes recourent presque tous au transport en commun.
Ici pas laisser bécane |
Ce n'est pas pour rien qu'ici les métros appartiennent à des entreprises privées, chose inimaginable presque partout ailleurs. Ici, c'est rentable, et c'est avec joie que l'on paie son ticket à coût variable, car le principe d'utilisateur-payeur en fonction de la distance s'applique. Plus tu vas loin, plus ton portefeuille s'allège.
Ici cracher yen à coups de centaines |
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