Dans cette ville énorme, les pigeons ne sont pas légion. J’en ai vu que deux, pas très vifs d'ailleurs.
C’est peut-être parce que dans cette ville énorme, les rues sont dépourvues de résidus, privant ces rats ailés d’une manière de s’alimenter. Il n’y a ni détritus, ni poubelles non plus (mis à part quelque rare exceptions). C’est à croire que les gens conversent leurs vieilles conserves pour les jeter à la maison, dans le respect de la tâche ordurière décrite hier.
Dans cette ville énorme, les lignes et les stations de métro semblent achalandées à toute heure de la journée. Ce qui me fait redouter le pire, c’est que deux personnes m’ont déjà dit que la ligne Den-en-toshi, celle que je devrai emprunter chaque matin pour aller à l’institut de japonais, est la plus bondée d’entre toutes. Faudra se préparer psychologiquement à un combat quotidien de tous les instants!
Dans cette ville énorme, je m’y plaît et m’y conforme.
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