Dimanche prochain s'amorce enfin mon périple d'une douzaine de jours à Shikoku, la plus petite des quatre principales îles composant l'archipel japonais. Et cette semaine, j'ai été occupé jusqu'à l’écœurement, et ce n'est pas tout à fait fini.
Sous l'urgence des préparatifs de voyage, des mots à traduire par milliers, des factures à régler, et de la saison des impôts presque oubliée, mes habitudes de sommeil, d'activité physique, d'alimentation et d'étude du japonais ont été reléguées au second rang.
Fatigué mais ravivé par le départ imminent, je vais me coucher, sachant que demain et après-demain seront encore bien chargés, mais qu'après, liberté. D'ici là, je m'aviserai de garder un œil sur la liste, cruciale, avec ses rubriques à faire, à acheter et à apporter. Nul doute, ce voyage, je l'aurai amplement mérité.
Le tunnel fait encore deux jours, mais déjà j'aperçois une lumière d'espoir, tout au bout.
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