Les endormis du métro. Dans le train de retour au bercail hier soir, le vendredi précédant la Golden Week, ils étaient légion, assoupis dans le train ou sur la plateforme.
Quand elle ne peut dormir chez moi, d'ordinaire nous allons au karaoké à mi-chemin, mais c'était plein. Nous avons dû nous rabattre sur le café de manga, moins intime, moins propice à nos duos.
Nous faisions trop de bruit, qu'on nous a avertis. Au pays du manga, le chant des ébats n'est pas prophète.
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