Tout comme la contribution quotidienne au cambiste à la jambe manquante, mon assiduité d'apprentissage de la langue nippone en a pris pour son rhume depuis l'amorce de ma deuxième année ici.
Comment donc parer cette carence d'assiduité, à la saveur plutôt acidulée? En me bottillonnant le postérieur, en m'imposant un peu plus de rigueur. C'est peut-être qu'au fond, je manque d'un peu de vision. Je ne verrais pas d'objections à m'imposer des objectifs plus clairs, une perspective plus longtermière.
Ainsi, sur le plan blogosphérien, je m'impose à nouveau la nécessité d'ajouter une entrée quotidienne, et ce, jusqu'à ce que le journal devienne un hebdomadaire. En termes moins obliques, je me vois forcé par moi-même, en vertu des vertueuses présentes, à écrire sept jours de suite. Et combien ça fait sept jours de suite, chers lecteurs? Un cinquante-deuxième d'année, bien sûr.
Une créature du désert qui ne s'abreuve qu'une fois semaine? Un hebdromadaire. Jeux de mots douteux numéro deux, des mots qui me motivent.
Deux minutes restent au cadran, où plutôt à l'écran, après quoi le proverbial coup au cul sera donné quant au japonais, par l'entremise d'exercices sur un site fort bien conçu, iknow.jp.
Plainte en japonais (文句) c'est monku, un peu comme un Mexicain qui prononcerait mon cul avec un fort accent de Guadalajara.
L'écoulement des seize s'est tari, cessons les plaintes. Finie la flagellation unijambiste, que commence celle nippono-linguistique.
Aucun commentaire:
Publier un commentaire