mercredi 13 juillet 2011
Art pauvre
Trouvaille dans le bac des disques à 100 yens. Un vinyle de Takashi Sato, paru en 1985, qui fera office de décoration murale. J'aime la lampe sans abat-jour et la dame à l'ample chevelure fixant la lampe sans abat-jour.
Nuit du samedi et matin du dimanche, c'est à ce moment que tout se passe. Juxtaposition du Japonais, l'homme, et du français, la langue, voilà ce qui m'a poussé à l'achat.
Il semble plutôt obscur, cet artiste. Je n'ai pratiquement trouvé que son site, plutôt mal foutu. Rien à voir avec Takashi Sato, le pianiste.
Du bac à vieilleries à mon mur de cuisine, toute une progression...
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