Le treize au Japon n'inspire pas la crainte. Ce rôle revient plutôt au chiffre quatre (shi, 四), car celui-ci est homophone de la mort (shi, 死).
À l'époque, cette peur du shi se répercutait même sur le sel (塩), prononcé shio. Puisque la prononciation du sel est dangereusement proche de celle de la mort, une fois la nuit tombée, à table on demandait de se faire passer le nami no hana (波の花, littéralement fleurs de vagues) pour rehausser le goût de son repas. Ainsi, grâce à ce bel euphémisme, pas de danger de crever, sauf peut-être de haute pression!
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