J'ai beau diffuser mes écrits sur une tribune publique, j'en viens parfois à oublier qu'on me lit. Depuis mon arrivée au Canada pour un passage de quelques semaines, dès qu'un ami ou un membre de ma famille mentionne mon blogue, de manière générale ou en lien avec une entrée précise, je me rappelle que ma fréquence de contribution a diminué considérablement depuis le début de l'année.
Le coup a été particulièrement dur hier, lorsque ma grand-mère Gertrude m'a exhorté à être plus assidu, à cesser de faire preuve de paresse. Vous avez raison grand-maman. Je dois me ressaisir, et ça commence maintenant, pour vous comme pour moi.
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