Je compose ce texte depuis l'auberge Mariudo d'Ishigaki, dont l'ordinateur est exempt du clavier franco. Puisque j'ai horreur de publier quoi que ce soit sans ses accents, je me cantonne aux mots qui n'en prennent pas. Bel exercice de style.
Les insulaires d'ici sont bien Japonais, sauf qu'ils ont pour la plupart un bronzage et semblent plus relaxes.
Hier, premier jour de port de shorts depuis longtemps. Faisait chaud. Un peu de plage, une bonne marche, le soleil m'a ainsi rendu rouge. L'achat d'un beau chapeau n'y aura pas fait grand chose. Si seulement la mixture solaire qu'on se met sur la peau n'avait pas un prix si exorbitant au magasin de la plage. Profiteurs!
Aujourd'hui, j'ai l'objectif de gravir le mont Omoto, point culminant de cette terre insulaire, dont le sommet surpassse les 500 m. J'adore escalader de hauts lieux! J'aime moins en redescendre, en revanche...
Notre langue a beau contenir moults accents, quand on veut, on peut s'en passer!
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