L'île Kohama. Découverte à pied car les vélos se louent trop cher. Un appareil photo oublié dans la chambre de l'auberge.
Une vue depuis le sommet, à quatre-vingt-dix-neuf mètres d'altitude. Des bovins au loin.
Un gentil couple de Japonais retraités rencontrés au café du village, qui s'arrêtent peu de temps après pour offrir une balade dans leur auto de location. Balade qui dure un temps seulement, suivie par la demande polie de se faire déposer un peu plus loin, préférant la contemplation et le rythme de la locomotion à deux jambes.
Une plage parsemée de détritus. Des ampoules à la douille rouillée. Une botte au cap d'acier rouillé. Mille et une bouteilles, des milliards de grains de sable.
Une pluie qui se met à tomber. Un coupe-vent qui n'est pas coupe-pluie. Une toile devant une maison servant d'abri de fortune. Une carte de l'île qui se désagrège au contact de l'eau.
L'île Kohama, découverte à pied tandis que ses habitants récoltent la cane à sucre.
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