Ce matin, j'ai rêvé que je consultais la brochure touristique d'une ville de villégiature fictive dans le nord du Manitoba. Cette ville, dont le nom m'échappe maintenant, était située sur les rives d'un lac de 16 000 km², dans une aire protégée de 109 000 km². J'ai rarement fait un rêve ayant des statistiques si précises.
L'endroit était perché sur une falaise ma foi à pic. Une des photos montrait les rangées de maisonnettes longeant les rues sinueuses qui gravissaient la côte vertigineuse.
Le prospectus vantait les atouts de ce haut lieu du tourisme, dont les nombreuses espèces de poissons foisonnant dans le lac et la propreté de l'endroit, relativement au village voisin, que l'on disait peu salubre. Guerre de clochers classique, que je me suis dit.
Quel rêve vivide, comme j'en ai rarement, et comme je m'en souviens encore plus rarement. Je me suis réveillé au moment où je discutais du village avec ma mère et ma grand-mère, qui semble-t-il se trouvaient dans les parages. Mon réveille-matin indiquait 10h28, deux heures plus tard que la normale. Merci pour rien, rêve vivide!
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