Il existe la sueur du déplacement, et celle de l'immobilité, dans les journées chaudes au point où être en vie suffit pour que sur notre corps elle ruisselle.
Aujourd'hui était propice à cette sueur de l'immobilité, malgré la brise qui traversait mon logement. Quel déplaisir, bienvenue la climatisation.
Je me suis tout de même rendu chez mon amie Tomoko, à environ huit kilomètres de vélo. Une sueur bien sûr au rendez-vous, mais une sueur d'action, de mouvement, d'activité physique. Une suée de cause à effet.
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