De retour au bercail tokyoïte après 24 heures à transiter par divers moyens. La température est plus agréable et moins humide qu'à mon retour du Canada à pareille date l'an dernier, quoiqu'il pourrait ne s'agir que d'un adoucissement éphémère, avant quelques semaines finales de fournaise.
Pendant ces deux semaines et des poussières, j'ai pu faire beaucoup, dont du camping, du vélo, de la course, de la pêche, des spectacles, même du karting, mais surtout, j'ai fait ces activités et partagé d'excellents moments avec des êtres chers, issus de ma famille comme d'amis.
Un seul élément a, et c'était prévisible, manqué à l'appel: l'étude et la pratique du japonais. Il y a bien eu quelques messages échangés avec des amis au Japon et la conversation avec l'employé nippon du café de mon ancien quartier torontois où mon ami Jeremy et moi étions allés siroter une boisson chaude en regardant les passants profitant d'un beau samedi, mais maintenant revenu je dois m'y remettre, redevenir l'apprenant qui, à défaut d'être studieux en tout temps, s'efforce de l'être assez souvent.
Je constate heureusement que mes notions plus approfondies de langue ont résulté en une régression moindre que l'an dernier. Et comme à l'automne 2012, je me dois à présent de mettre toute la gomme en vue de l'examen d'évaluation de compétences linguistiques japonaises (le JLPT en anglais, ou encore 日本語の力試験), qui aura lieu au début décembre.
Pour résumer l'expérience globale : bien content d'être de retour, bien content aussi d'y avoir fait le détour!
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