À l'occasion, un sujet me passionne, ou même m'obsède, pendant quelques temps.
Après avoir lu cet article plutôt morbide sur les dangers de l'ascension du Mont Everest, je dévore depuis quelques jours tout ce que peux trouver sur les risques de l'alpinisme en haute montagne.
J'ai une immense pile d'éditions du magazine Sports Illustrated des années quarte-vingt, que j'irai donner au Village des Valeurs demain. Ces revues font partie du tas de possessions que j'ai choisi de laisser derrière moi.
Quelle coïncidence de découvrir, en feuilletant un numéro au hasard, le récit d'un Américain ayant fait partie d'une équipe qui, en 1989, a tenté et presque réussi à gravir l'Everest par la face est, jamais conquise auparavant, sans oxygène d'appoint en plus. C'est à peine s'il a réussi à revenir au camp de base vivant. Lui aussi victime de l'environnement brutal himalayen, il a dû se faire amputer le bout de huit doigts et trois orteils, pour cause de gelure.
Obsession, quant tu me tiens, partout tu retiens mon attention!
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