Les chialeux, il y en a partout, et beaucoup.
Moi même j'en suis un, même si j'aimerais me convaincre que non.
On dit : qui se ressemblent s'assemblent.
Les chialeux font exception à cette règle.
Car s'il y a bien quelque chose que les chialeux détestent, ce sont ceux qui ne cessent de chialer!
mercredi 29 décembre 2010
mardi 28 décembre 2010
Sumockey
En visite à Québec, chez mes amis Frédéric et Lucie
Sous peu nous irons jouer au hockey pas très loin d'ici
Que c'est bon de jouer au sport national, si beau
Une dernière fois, avant de se mettre au sumo!
Sous peu nous irons jouer au hockey pas très loin d'ici
Que c'est bon de jouer au sport national, si beau
Une dernière fois, avant de se mettre au sumo!
lundi 27 décembre 2010
Fêtes festives
Ce soir grosse fête des amis trifluviens
Un peu de Toronto sera de la partie
Jérôme, mon grand ami de là-bas, y sera
Voilà qui m'en voit ravi!
Un peu de Toronto sera de la partie
Jérôme, mon grand ami de là-bas, y sera
Voilà qui m'en voit ravi!
dimanche 26 décembre 2010
samedi 25 décembre 2010
vendredi 24 décembre 2010
Noël réinventé
1. J'ai toujours détesté faire les magasins à l'approche de Noël, dans la frénésie de dernière minute.
2. Je n'ai jamais été doué dans l'art de faire de beaux cadeaux.
3. J'ai toujours trouvé douteux d'acheter des bébelles made in China qui ne serviront probablement pas.
Voilà pourquoi, pour un deuxième Noël consécutif, j'opte plutôt pour une formule qui reflète mieux l'idée que je me fais du réel esprit des Fêtes : les dons.
Pour chacun des membres de ma famille, je verse un don, en son nom, à un organisme qui, à mon avis, le représente bien.
Cette année, j'ai même demandé aux membres de ma famille de faire de même, au lieu de m'offrir des présents. Reste à savoir quels seront les organismes élus!
Joyeux Noël!
2. Je n'ai jamais été doué dans l'art de faire de beaux cadeaux.
3. J'ai toujours trouvé douteux d'acheter des bébelles made in China qui ne serviront probablement pas.
Voilà pourquoi, pour un deuxième Noël consécutif, j'opte plutôt pour une formule qui reflète mieux l'idée que je me fais du réel esprit des Fêtes : les dons.
Pour chacun des membres de ma famille, je verse un don, en son nom, à un organisme qui, à mon avis, le représente bien.
Cette année, j'ai même demandé aux membres de ma famille de faire de même, au lieu de m'offrir des présents. Reste à savoir quels seront les organismes élus!
Joyeux Noël!
jeudi 23 décembre 2010
Interrogations
Huit kilomètres d'avant-midi dans la neige aujourd'hui
Les pieds glissent toujours un peu sur la surface givrée
Je me demande, combien de calories supplémentaires ont été brûlées
Par ces conditions hivernales, par rapport à la course estivale?
Rendez-vous d'après-midi chez le dentiste aujourd'hui
Étendu dans la chaise noire à me faire zigouiller la mâchoire
Je me demande, cette grosse lampe de dentisterie qui m'éclaire l'intérieur
À quelle fréquence doivent-ils en remplacer l'ampoule?
Les pieds glissent toujours un peu sur la surface givrée
Je me demande, combien de calories supplémentaires ont été brûlées
Par ces conditions hivernales, par rapport à la course estivale?
Rendez-vous d'après-midi chez le dentiste aujourd'hui
Étendu dans la chaise noire à me faire zigouiller la mâchoire
Je me demande, cette grosse lampe de dentisterie qui m'éclaire l'intérieur
À quelle fréquence doivent-ils en remplacer l'ampoule?
mercredi 22 décembre 2010
Adieu Toronto, je te tire ma révérence!
Après plus de cinq ans, son plan quinquennal réalisé avec brio
Notre bon Julien doit désormais présenter ses adieux à Toronto
Non sans fêter comme il se doit, pour une dernière fois, en héros!
Goin’ Steady au Gladstone, événement tout à fait à propos
Samedi 18 décembre, places limitées, alors arrivez tôt!
Notre bon Julien doit désormais présenter ses adieux à Toronto
Non sans fêter comme il se doit, pour une dernière fois, en héros!
Goin’ Steady au Gladstone, événement tout à fait à propos
Samedi 18 décembre, places limitées, alors arrivez tôt!
mardi 21 décembre 2010
Le a qui change tout
Béatifier
Élever au rang des bienheureux par l’acte de béatification
Bétifier
Rendre abruti, bête.
De grâce, cessons de béatifier les programmes télévisés qui ne font que bétifier notre jeunesse désemparée!
Élever au rang des bienheureux par l’acte de béatification
Bétifier
Rendre abruti, bête.
De grâce, cessons de béatifier les programmes télévisés qui ne font que bétifier notre jeunesse désemparée!
lundi 20 décembre 2010
Bercaillé
Rester assis et se déplacer simultanément, c'est fatiguant
Le dos éreinté à soulever des boîtes, les fesses en compote, à bon port je suis arrivé
Pour des Fêtes en famille préalables à l'année nipponne, ça sera le fun!
Le dos éreinté à soulever des boîtes, les fesses en compote, à bon port je suis arrivé
Pour des Fêtes en famille préalables à l'année nipponne, ça sera le fun!
dimanche 19 décembre 2010
Transport
Du domicile à l'arrêt d'autobus
De l'arrêt d'autobus à la station de métro
De l'autre station de métro, après un transfert, au bureau de location d'auto
Du bureau de location d'auto au domicile
Du salon à la mini-fourgonnette, à plusieurs reprises, boîtes à la main
De Toronto à Trois-Rivières, six cent soixante-quinze kilomètres sous ma camionnette
Du véhicule au domicile parental, à plusieurs reprises, boîtes à la main
Du domicile parental au bureau de location d'auto, aller-retour
Ensuite à mon lit, pour clore cette journée de transport.
De l'arrêt d'autobus à la station de métro
De l'autre station de métro, après un transfert, au bureau de location d'auto
Du bureau de location d'auto au domicile
Du salon à la mini-fourgonnette, à plusieurs reprises, boîtes à la main
De Toronto à Trois-Rivières, six cent soixante-quinze kilomètres sous ma camionnette
Du véhicule au domicile parental, à plusieurs reprises, boîtes à la main
Du domicile parental au bureau de location d'auto, aller-retour
Ensuite à mon lit, pour clore cette journée de transport.
samedi 18 décembre 2010
Veille
Dernière soirée torontoise hier soir. Aux petites heures je me suis couché, six heures du matin bien entamées.
Maintenant, inéluctablement, je vis mon dernier lendemain de veille ontarien, pour un bon moment, du moins.
Maintenant, inéluctablement, je vis mon dernier lendemain de veille ontarien, pour un bon moment, du moins.
vendredi 17 décembre 2010
Transition
Ma chambre est encombrée du mobilier de Jérôme, mon digne successeur.
C'est le changement de garde qui s'opère, et les changements de garde se déroulent rarement sans chevauchement.
Les trois J, Jeremy, Jérôme et moi-même, seront donc réunis sous un même toit, le temps d'une fin de semaine, mon ultime. De quoi se réjouir!
C'est le changement de garde qui s'opère, et les changements de garde se déroulent rarement sans chevauchement.
Les trois J, Jeremy, Jérôme et moi-même, seront donc réunis sous un même toit, le temps d'une fin de semaine, mon ultime. De quoi se réjouir!
jeudi 16 décembre 2010
Deux heures deux trop tard
Sur le point d'aller me coucher, il est 2h02 du matin.
J'ai encore triché sur l'heure de publication, je le crains.
Dans tous les cas, dès que j'ajoute mon entrée quotidienne après le quoti, j'opte pour une heure de publication qui me plaît, à savoir :
Midi trente-quatre. Un deux trois quatre, je ne dédaigne pas cette séquence linéaire.
J'ai encore triché sur l'heure de publication, je le crains.
Dans tous les cas, dès que j'ajoute mon entrée quotidienne après le quoti, j'opte pour une heure de publication qui me plaît, à savoir :
Midi trente-quatre. Un deux trois quatre, je ne dédaigne pas cette séquence linéaire.
mercredi 15 décembre 2010
Obsession du moment
À l'occasion, un sujet me passionne, ou même m'obsède, pendant quelques temps.
Après avoir lu cet article plutôt morbide sur les dangers de l'ascension du Mont Everest, je dévore depuis quelques jours tout ce que peux trouver sur les risques de l'alpinisme en haute montagne.
J'ai une immense pile d'éditions du magazine Sports Illustrated des années quarte-vingt, que j'irai donner au Village des Valeurs demain. Ces revues font partie du tas de possessions que j'ai choisi de laisser derrière moi.
Quelle coïncidence de découvrir, en feuilletant un numéro au hasard, le récit d'un Américain ayant fait partie d'une équipe qui, en 1989, a tenté et presque réussi à gravir l'Everest par la face est, jamais conquise auparavant, sans oxygène d'appoint en plus. C'est à peine s'il a réussi à revenir au camp de base vivant. Lui aussi victime de l'environnement brutal himalayen, il a dû se faire amputer le bout de huit doigts et trois orteils, pour cause de gelure.
Obsession, quant tu me tiens, partout tu retiens mon attention!
Après avoir lu cet article plutôt morbide sur les dangers de l'ascension du Mont Everest, je dévore depuis quelques jours tout ce que peux trouver sur les risques de l'alpinisme en haute montagne.
J'ai une immense pile d'éditions du magazine Sports Illustrated des années quarte-vingt, que j'irai donner au Village des Valeurs demain. Ces revues font partie du tas de possessions que j'ai choisi de laisser derrière moi.
Quelle coïncidence de découvrir, en feuilletant un numéro au hasard, le récit d'un Américain ayant fait partie d'une équipe qui, en 1989, a tenté et presque réussi à gravir l'Everest par la face est, jamais conquise auparavant, sans oxygène d'appoint en plus. C'est à peine s'il a réussi à revenir au camp de base vivant. Lui aussi victime de l'environnement brutal himalayen, il a dû se faire amputer le bout de huit doigts et trois orteils, pour cause de gelure.
Obsession, quant tu me tiens, partout tu retiens mon attention!
mardi 14 décembre 2010
L'épidernière
C'est le temps des dernières en cette dernière semaine torontoise.
Demain, dernière journée au travail, après plus de cinq ans.
Jeudi, dernier party de Noël, mon sixième organisé par cette compagnie.
Samedi, dernière soirée à Toronto, mon énième.
Lundi, dernière matinée dans cette ville, que je quitterai heureux, mais nostalgique.
Demain, dernière journée au travail, après plus de cinq ans.
Jeudi, dernier party de Noël, mon sixième organisé par cette compagnie.
Samedi, dernière soirée à Toronto, mon énième.
Lundi, dernière matinée dans cette ville, que je quitterai heureux, mais nostalgique.
lundi 13 décembre 2010
La mousse tache au temple de Gordie Howe
Premier vrai temps hivernal, avec température ressentie de moins vingt-quatre degrés.
Mon coloc, particulièrement asthmatique de ces temps-ci, tousse depuis sa chambre.
Nous avons envahi la ville, tel un cheval détroit, et j'en étais moustachu.
Cette pilosité faciale doit désormais passer au couperet.
dimanche 12 décembre 2010
Camping à domicile
J'apprête à entamer la dernière nuit dans mon futon. L'organisme de bienfaisance vient me le prendre demain, en plus de la plupart de mes meubles.
Pour la semaine à venir, la dernière en sol torontois, je devrai dormir au sol dans un sac de couchage, un matelas de sol mon sol et unique confort. Plutôt rustique et drastique, non?
Pour la semaine à venir, la dernière en sol torontois, je devrai dormir au sol dans un sac de couchage, un matelas de sol mon sol et unique confort. Plutôt rustique et drastique, non?
samedi 11 décembre 2010
Facilité
Le jeu de mots facile suivant, je l'utilise à toutes les occasions. Tant que mon public change, le recyclage passe inaperçu!
Version anglaise
Du bon vin! Ça ne sera pas en vain!
Version anglaise
A nice bottle of wine! Nothing to whine about!
vendredi 10 décembre 2010
Direction Détroit
Grosse fin de semaine de gros sport.
Vendredi, partie Canadien-Red Wings, inouï!
Samedi, match de basket-ball des Raptors contre les Pistons, où il y aura beaucoup de papas avec leur fiston.
Dimanche, les Lions affrontent les Packers, dans le Ford Field, nom bien peu surprenant pour la capitale de l'industrie automobile.
Ça promet tout à fait!
Vendredi, partie Canadien-Red Wings, inouï!
Samedi, match de basket-ball des Raptors contre les Pistons, où il y aura beaucoup de papas avec leur fiston.
Dimanche, les Lions affrontent les Packers, dans le Ford Field, nom bien peu surprenant pour la capitale de l'industrie automobile.
Ça promet tout à fait!
jeudi 9 décembre 2010
Roxton
Tard j'ai été, au Roxton, mon bar de quartier
C'était probablement mon dernier passage, y être si tard normalement n'aurait pas été si sage
Mais bon dans mon dernier droit torontois, vous me pardonnerez ce moment de bon aloi!
C'était probablement mon dernier passage, y être si tard normalement n'aurait pas été si sage
Mais bon dans mon dernier droit torontois, vous me pardonnerez ce moment de bon aloi!
mercredi 8 décembre 2010
Motsemblables
Nadège, finis ton ménage, et on ira au manège.
Une conversation avec mon aimante sur la conservation de l'amiante, les poumons et l'aine du poupon, et le pompon fait en laine de mouton.
La grippe grimpe en moi, la lagune présente des lacunes, mais le concert sera concret, au moins!
Une conversation avec mon aimante sur la conservation de l'amiante, les poumons et l'aine du poupon, et le pompon fait en laine de mouton.
La grippe grimpe en moi, la lagune présente des lacunes, mais le concert sera concret, au moins!
mardi 7 décembre 2010
Quinquennal
Il est tard, j'en ai marre
Assez de travail pour aujourd'hui
C'est l'heure d'aller se mettre au lit
Plus qu'une semaine au service de cette compagnie
Après plus de cinq ans, cette fin imminente me ravit
Ne restera plus que le party de Noël
Après quoi avec joie j'y mettrai une croix éternelle!
Assez de travail pour aujourd'hui
C'est l'heure d'aller se mettre au lit
Plus qu'une semaine au service de cette compagnie
Après plus de cinq ans, cette fin imminente me ravit
Ne restera plus que le party de Noël
Après quoi avec joie j'y mettrai une croix éternelle!
lundi 6 décembre 2010
Naturité
Question : comment appelle-t-on les gars ayant un penchant pour les femmes d'expérience?
Réponse : les amants de la mature...
Réponse : les amants de la mature...
dimanche 5 décembre 2010
Merci!
À tous les égards, c'était une soirée remarquable et des plus divertissantes.
Amis de Toronto, vous allez me manquer.
Vous avez su me célébrer en beauté.
Ça m'a rempli d'émoi!
De vous connaître, quelle joie!
Amis de Toronto, vous allez me manquer.
Vous avez su me célébrer en beauté.
Ça m'a rempli d'émoi!
De vous connaître, quelle joie!
samedi 4 décembre 2010
Grande soirée
Le jour de la surprise est venu.
Reste à savoir ce que Jérôme et compagnie me réservent.
Je crois qu'on m'a involontairement mis la puce à l'oreille.
Reste à savoir si mon instinct a bien vu!
Reste à savoir ce que Jérôme et compagnie me réservent.
Je crois qu'on m'a involontairement mis la puce à l'oreille.
Reste à savoir si mon instinct a bien vu!
vendredi 3 décembre 2010
Métaforte
Avoir une section fumeur dans un restaurant c'est comme avoir une section pisseur dans une piscine!
Quelle métaphore, provenant de mon cousin Philippe, criante de vérité! Heureusement que les sections fumeurs n'existent plus. Les sections pisseurs, quant à elle, existeront toujours, même si elles ne sont jamais officielles!
Ce à quoi j'ajoute :
Avoir une section pisseur dans une piscine, c'est comme avoir une section pollueur sur la planète.
jeudi 2 décembre 2010
Maudits Français
Avez-vous déjà entendu nos cousins français dire, lorsqu'il fait insupportablement froid, Putain, ça caille!. Moi si, et je me dois de déplorer la logique fautive de cette expression.
Lorsqu'on le conserve au froid, dans le frigo, le lait conserve sa consistance et son bon goût. C'est qu'on le laisse au chaud, sur le comptoir, qu'il caille. C'est en temps caniculaire qu'on peut donc utiliser cette locution à bon escient.
De grâce, chers maudits Français (et ceci dit en toute affection), ayez vos expressions à la bonne place, mes petites cailles!
Lorsqu'on le conserve au froid, dans le frigo, le lait conserve sa consistance et son bon goût. C'est qu'on le laisse au chaud, sur le comptoir, qu'il caille. C'est en temps caniculaire qu'on peut donc utiliser cette locution à bon escient.
De grâce, chers maudits Français (et ceci dit en toute affection), ayez vos expressions à la bonne place, mes petites cailles!
mercredi 1 décembre 2010
Plaidoyer pour la microbrassée
Je sirotais un nectar divin tout à fait plaisant, lorsque m'est venue cette réflexion de type noir et blanc :
L'amateur de bières microbrassées et artisanales favorise l'innovation, célèbre la diversité, appuie les producteurs indépendants et locaux, et opte pour la qualité. Son parcours houblonné est une découverte sans cesse renouvelée de nouveaux arômes, de nouvelles surprises.
Le buveur de grandes marques préfère l'uniformité, se complaît dans le prévisible, se contente de monotonie, et joue le jeu de la publicité. Parfaitement satisfait d'une bière dont le goût ne change jamais, il ne ressent guère le besoin d'expérimenter.
L'amateur de bières microbrassées et artisanales favorise l'innovation, célèbre la diversité, appuie les producteurs indépendants et locaux, et opte pour la qualité. Son parcours houblonné est une découverte sans cesse renouvelée de nouveaux arômes, de nouvelles surprises.
Le buveur de grandes marques préfère l'uniformité, se complaît dans le prévisible, se contente de monotonie, et joue le jeu de la publicité. Parfaitement satisfait d'une bière dont le goût ne change jamais, il ne ressent guère le besoin d'expérimenter.
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