Jeudi dernier, j'ai raté mon vol vers Québec. Une première pour moi. J'en suis pas fier.
J'aurais beau inventer toutes sortes d'excuses – transport en commun en retard, congestion routière, traversier vers l'aéroport tout juste manqué – mais soyons honnêtes, je n'ai que moi à reprocher.
J'ai pu heureusement prendre le vol suivant, quatre heures plus tard, sans frais supplémentaires.
Quelques bières de la microbrasserie voisine, les mémoires d'un polytoxicomane et un coin de verdure sur le site du Fort York ont transformé ce quatuor d'heures en simple moment un tantinet irritant.
Je tire une leçon de ces tribulations d'aviation : sortir du logis une heure dix avant le départ de son Bombardier, c'est se foutre dans le merdier!
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